André Minvieille + La Mossa

ANDRE MINVIELLE

Ce soir, ce sont des voix qui (nous ra)content…
Celle d’André Minvielle et son dernier opus « 1time » prononcez “intime” ou bien “one time” suivant votre accent ! … et ça André il les connaît les accents avec toute sa féconde vocalchimie.

Le tourbadour vide son « sac y’a d’dans ». Des rhizomes en voix ci en voix là.  Les élucubrations en chants, en sons, en dire du voc’alchimiste. Scat compris.  Mettre l’accent est son maître mot. Pas de musique sans accents, c’est le retour de manivelle. Les petites musiques de la langue quand on la tire.
En bref, une cartographie sonore et enchanté de son “intime” au fil d’assemblages de ses collections de sons, d’enregistrement de bruits du quotidien, et de chansons inédites, se croisent des crapauds, des accents, des copains, du rugby, du créole, des champignons, et de la poésie…

LA MOSSA

Et pour commencer, les voix de La Mòssa, sextet féminin, fraîchement formé autour d’un répertoire de chants polyphoniques du monde. La Mossa “a moss’” un déhanché qui ponctue un roulement de tambour, une chevauchée vibrante aux accents voyageurs ! Un projet vocal local, soutenu par la Gare, avec des voix musiciennes que vous connaissez autrement, dans Chet Nuneta, Grandes Mothers, Joulik, ou Fatum Fatras… Alors pour partager la scène avec Dédé, c’était un peu une évidence pour nous !